Stéphane Padovani
Auteur de romans, nouvelles, contes, poésie...
Entretiens / vidéos disponibles :
à propos de Le Bleu du ciel est déjà en eux
à propos de Les roturiers
à propos de Autour de nous
à propos de Fragments de la consolation
à propos de L'Autre vie de Valérie Straub
Podcasts radio :
Sur Radio Rennes et Radio évasion
+ Lien avec l'émission CONSONNANCES
et notre nouvelle saison de lectures, à découvrir :
https://www.plumfm.net/consonnances

Photo prise par Alain Epaillard
pour l'exposition collective
"l'Autre au portrait"
"Voix. Voix. Petite voix singulière dans le vacarme assourdissant."
Joël Vernet (Carnets du lent chemin)

Sortie début juin 2022
18 euros / à commander à
La Vilaine éditrice 47 Craon
35600 BAINS SUR OUST






à paraître :
fin 2023
éditions TARMAC
Ouvrage collectif
« L 'intensité du rythme narratif de ce bref roman laisse le lecteur essoufflé, comme étourdi après ce long cycle de mutations. L' Homme de bois est un récit d'apprentissage exemplaire, un beau tour de force narratif et humaniste pétri d'intertextualité, dont le paisible dénouement laisse cependant présager un nouveau cycle dans cette histoire sans fin. »
Blandine Longre / Zazieweb
à propos de L' homme de bois
« L' autre vie de Valérie Straub : Un très beau texte, fort et poignant, que l’on pourrait peut-être résumer ainsi : courage, dignité et désespoir. »
Cathy Garcia / La Cause Littéraire
« La maîtrise, l’élégance nerveuse et la violence contenue de la langue, détonations sèches qui claquent, impressionnent. Une poignante réussite. »
Bénédicte Heim / Livres- Addicts
« Court, efficace et bouleversant. »
Anne-Sophie Demonchy / La Lettrine
à propos de
L'autre vie de Valérie Straub
Tour d'horizon de la presse...
« Stéphane Padovani signe avec Chiens de guerre un nouveau roman somptueux et puissant. En quatre portraits sculptés dans la glaise et le métal, il nous plonge dans l' errance du monde après l'effondrement du mur de Berlin, au cœur des conflits qui ont ensanglanté l'Europe depuis. Un livre émouvant qui touche à l'universel. »
Pascal Dereudre / Radio Libertaire
à propos de Chiens de guerre
« Le Bleu du ciel est déjà en eux raconte des histoires d'âmes. On y parle de la langue maternelle, de l'insupportable absence, des deuils et des folies, d'insolites apparitions et de fournaises intérieures. Et voilà que naît une émotion étrange, comme si une seule goutte d'eau claire pouvait, en s'étendant, laver les marais noirs de nos désespérances. »
Xavier Houssais / Next-Libération
« Un insoupçonné minerai intime pour transcender le présent. »
Jacques Josse / remue.net
« Au lecteur inconnu ? […] Une langue qui peut aussi bien être refuge que terre d’exil. »
Marc Ossorguine/ La Cause littéraire
« Une sensation étrange, lente, de fin de nuit, d’entre-deux, de rendez-vous ratés, de tristesse confortable. Très fort. »
à propos de
Le bleu du ciel est déjà en eux
« La Veilleuse est l'histoire d'une fin du monde, une histoire de deuil. Elle est aussi une nouvelle impulsion de vie qui se prend à croire à un renouveau. »
Nelly Carnet / Le mensuel littéraire et poétique
« Les éditions Quidam revendiquent leur goût pour « les ouvrages dont le style jaillit de la forme. » La Veilleuse, de Stéphane Padovani, n'échappe pas à cette règle (…) Ce roman sensible et poétique est un chant d'amour aux mots.
Anne-Sophie Demonchy / Le magazine des livres.
à propos de La veilleuse
"Cet ouvrage est constitué de fragments, c'est-à-dire de textes courts ou très courts, pas forcément en lien les uns avec les autres. Ils ont pour point commun de traiter du combat de personnes face à l'adversité, au conflit ou au malheur. Les textes, très bien écrits, sont tout à fait compréhensibles malgré leur brièveté par un choix de mots, d'indices et de situations tout à fait pertinent. La lecture d'un fragment laisse aussi suffisamment de place à l'imagination: il est très facile de se représenter la situation vécue par le personnage et son contexte. Les dessins (portraits sans visages) qui s'intercalent entre les fragments sont tout à fait appropriés au thème et sont un vrai plus pour l'ouvrage. Ainsi, chacun peut se représenter plus facilement une scène en associant portrait sans visage et fragment. Une très belle découverte, qui mérite le détour."
Sebito / Babélio
à propos de
Fragments de la consolation